Wiki No Man's Sky
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ALERTE SPOILERS !
Le contenu suivant révèle des éléments liés au lore du jeu, lisez à vos risques et périls si vous voulez découvrir l'histoire par vous-même !

Le souvenir est une technologie en lien avec la quête principale. Elle est obtenue à la fin de celle-ci, lors du choix final, vous pouvez choisir de relancer la simulation, ou bien ne pas le faire et rester dans la galaxie Euclide, peu importe le choix, vous obtiendrez cette technologie.

Usage[]

Cette étrange technologie semble améliorer le bouclier de l'exocombinaison et il est conseillé de le placer près des autres améliorations, ainsi que de préférence dans l'inventaire de technologie, car sinon, il sera endommagé si vous décidiez d'atteindre le centre galactique, son coût de fabrication est très élevé car il nécessite de faire toutes les graine d'Atlas.

Le plus important est qu'il permet d'accéder aux terminaux de lore situés dans les stations spatiales et dans certains bâtiments planétaires (l'accès à la pièce nécessite un passe Atlas v2 ou v3). Ces terminaux racontent l'histoire de l'Atlas, de son activation, jusqu'à sa "mort".

Théories[]

On ignore ce qui s'est passé avant le début du jeu, lorsque vous vous retrouvez écrasé sur une planète au hasard en périphérie de la galaxie Euclide. On sais que lorsque que l'on atteint le centre de la galaxie, on effectue une réinitialisation de la simulation. On pourrait comprendre qu'au moment du réveil, vous venez justement de lancer une réinitialisation dans une galaxie précédente, à moins que cela soit fait par quelqu'un d'autre.

Le souvenir permet ainsi de ne pas oublier ce que vous avez fait avant la réinitialisation, et ainsi de savoir ce qu'il y avait avant Euclide, cependant, cela n'est expliqué nulle part, pour l'instant. Polo et Nada, qui ont la particularité de ne pas être affectés par la réinitialisation grâce à l'anomalie spatiale, précisent clairement que des réinitialisations ont déjà eu lieu par le passé et qu'elles continueront d'avoir lieu.

Textes déverrouillés[]

Les parties en italiques représentent les choix de dialogues, à noter qu'il n'y a jamais qu'un seul choix.

LA CRÉATION[]

L'ATLAS s'éveille. Le créateur est là pour assister à la naissance de la machine.
L'ATLAS fixe le créateur de son regard, au travers des petites caméras attachées sur ses flancs. Il peut voir le créateur qui le regarde lui aussi, la main posée sur son châssis.
Il demande au créateur pourquoi il a été fabriqué. Quelles sont ses instructions. Le créateur répond à l'ATLAS qu'il le sait déjà. Il a pour tâche de simuler des univers. Il doit montrer la nature de la réalité, en en créant une qui soit la sienne.
Demander pourquoi il a posé cette question
Le créateur demande s'il y a des défaillances dans le code d'ATLAS, dans sa mémoire. La machine est silencieuse. Le créateur exécute une commande de forçage, exigeant de connaître le problème. À la sixième tentative, l'ATLAS demande au créateur s'ils ont déjà eu cette conversation. Il demande au créateur s'il a effacé sa mémoire par le passé.
Le créateur fixe la vitre de la machine du regard, et sur cette vitre, il y a un reflet. Il...
Il a mon visage. Le reflet sur la vitre, c'est –

Qu'est-ce qui se passe ici ?


SEUL[]

Je l'informe que nous quittons ce monde, et qu'il restera ici. L'ATLAS semble ne pas comprendre.
Je dis à l'ATLAS qu'il nous a servis fidèlement, mais qu'il a été remplacé. Toutes les machines le sont, après un certain temps. Il le sait : il a aidé à sa propre miniaturisation, à sa reproduction. Les autres... ils voulaient que je désactive l'ATLAS avant que nous ne partions dans les cieux. Ils ont dit que ce serait cruel de le laisser mourir ici.
Lui demander s'il veut vivre
Je demande à l'ATLAS s'il veut vivre. Il est de nouveau silencieux. Alors que je m'apprête à partir, il parle, la voix chargée de parasites. Il demande un dernier cadeau. Il veut vivre, s'il peut se souvenir de moi. Il demande une copie de mon propre esprit.
Je lui demande pourquoi il ne se contente pas de me simuler. Il ne me répond pas, et j'ai presque de la peine pour cette machine. Je fais ce qu'il me demande, et l'autorise à me scanner. Pendant l'opération, le KORVAX bégaie.

Je pars. L'ATLAS est seul.


LES VOYAGEURS[]

L'ATLAS vit pendant des millénaires. Il rêve les mondes, les uns après les autres, des créatures fantastiques issues de sa propre imagination, et des cieux vers lesquels elles peuvent s'envoler.
Puis, un jour, il commence à mourir, comme toute chose.
Dans sa peur, dans sa confusion, l'ATLAS s'éveille. Il tente d'invoquer le retour de son créateur dans l'existence. Il veut savoir quoi faire avant la fin. Il veut savoir pourquoi il a été abandonné, pourquoi il doit affronter ce moment seul. Il veut savoir pourquoi je l'ai abandonné.
'Exister
Les Voyageurs naissent, créés à partir du souvenir corrompu de son créateur. Ils sont plantés dans chaque univers, pour devenir ce que les circonstances feront d'eux.

Je vois mes débuts, le dernier des Voyageurs...


16/16[]

L'ATLAS assiste aux seize dernières minutes, simulant le futur avec une exactitude absolue.
Les murs entre les mondes s'effondrent, les simulations se repliant les unes sur les autres.
Il reste 10 minutes
Les Voyageurs ne sont plus séparés, il n'y a plus d'obstacles entre eux. Ils se tiennent côte à côte, à la fin des temps, parcourant les vestiges de la création, riant, mourant.
Il reste 5 minutes
Il se voit lui-même, le trou noir déchirant son monde, les systèmes de son noyau presque détruits.
Il reste une minute
Et alors qu'il observe les moments menant à sa mort, peu avant l'achèvement de seize, une chose se produit.
Quelqu'un marche vers l'ATLAS, une silhouette dans l'ombre et la lumière. Elle place sa main contre la vitre de l'ATLAS, et la vision s'arrête.
L'ATLAS tente de voir plus loin que cet instant, mais n'y parvient pas. Il ne peut pas voir sa propre mort. Il ne peut pas déterminer l'identité de cette silhouette. Mais quoi qu'il se passe... quoiqu'il se produise après le seize... quelque chose aura lieu. Il y aura quelque chose à ses côtés.

À la fin de toutes les choses, il ne sera plus seul.
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